Les Regrets – Mes Regrets (1/3)

Le cap dès 7 ans de mariage, je suis en plein dans cette période avec Jennifer ma femme que j’ai épousée dans sa vingtième année.
Jennifer jeune beauté blonde qui aurait pu faire une carrière de mannequin mais qui est si timide qu’il m’a fallu toute la patience du monde pour la conduire à l’hôtel.
L’hôtel, attention celui de l’église de notre petite ville ou je suis notaire.
Depuis notre mariage notre couple a vu venir au monde notre jolie petite poupée aussi blonde que sa maman à qui nous venons de fêter ses 2 ans.
Poupée mais Ange car c’est le prénom que nous lui avons donné.

Bonheur parfait même sexuellement même si par moments le manque de rapport un peu hard peut me faire fantasmer.
Chaque fois que Jennifer veut que je lui fasse l’amour le rituel est toujours le même au moins deux fois par semaine sauf les moments ou.
Elle sort de la salle de bain alors que je suis déjà au lit en train de lire recouverte de sa chemise de nuit transparente dont seule la couleur change au fil des semaines.
Transparente ce qui me montre ses formes parfaites après l’avoir ôtée puis posée sur le dossier de la chaise avant qu’elle me rejoigne pour que je l’honore.
Je peux voir son corps digne de celui d’une déesse.
Sa vue fait tendre ma bite et je sais que je vais passer un moment divin.
Elle ouvre le lit et entre sans se recouvrir et vient me donner sa bouche dans un baiser qui finit de faire de moi l’homme qui va lui prendre doucement la chatte pour l’emmener vers son plaisir.
La seule position en plus de celle du missionnaire qu’elle semble appréciée est de se mettre en levrette.
Bien sûr depuis la première fois où nous avons fait l’amour et que je l’ai dévirginisée mon sexe a été le seul à recevoir sa chatte, tout juste de temps en temps je me permets une petite claque sur son fessier rebondi qui lui fait pousser un léger cri de plaisir plus que de souffrance.
Quand elle a joui et que j’ai rempli sa grotte, elle se relève, va remettre sa chemise de nuit avant de s’allonger à mes côtés et d’éteindre la lumière.


Par habitude je glisse ma main sur sa fente et j’adore sentir mon sperme entre ses grandes lèvres quand j’y glisse deux doigts avant de m’endormir.
Depuis quelques semaines après ces jolis moments des images salaces travers mon esprit quand elle s’est endormie
Je me vois baisant des femmes toutes plus près de celle qui tourne autour de la gare et qui semble attendre le micheton plutôt que la gentille femme plein de prévenance pour celui qu’elle aime.
Ces nuits-là, je me réveille en sueur dans notre lit mais le léger son que Jennifer émet en dormant me prive de la réveiller et de lui mettre mon sexe partout dans son corps la prenant d’une manière bestiale.
Attention on pourrait penser que je suis frustré mais les deux femmes de ma vie à qui je consacre tout mon temps me dissuade d’aller chercher ailleurs.
Et puis il y a les vacances ou en Juillet elles partent toutes les deux pour un mois dans la villa louée par mes beaux-parents à Royan mon beau-père étant banquier à la retraite.
Depuis plusieurs années il loue cette belle villa et souhaite que mes deux femmes viennent avant qu’elle ne me rejoigne pour que nous partions tous les trois au mois d’août.
Elle a toujours refusé mais Ange marchant, un mois d’air marin l’ont convaincue de me quitter cette année.

Les dix premiers soirs je reste à attendre leur appelle avant de me coucher avec le bon livre que j’ai acheté pour passer ce mois tranquille.
Et il y a le 13 juillet où elles oublient d’appeler et où il m’est impossible de les joindre car personne ne répond.
13 juillet date de notre mariage et que j’aurais voulu fêter avec elle comme tous les ans si elle avait été là au lieu de m’abandonner.

Je suis frustré et je résiste à l’envie de sortir pour noyer mon chagrin dans un verre.
À dix heures comme un robot je me rhabille et je prends l’ascenseur pour faire un tour dans les rues de notre centre-ville.
Ce bar spécialisé dans le vin m’attire pour fêter notre anniversaire seul, une bouteille de bon rouge pourra faire l’affaire.

Une bonne cuite et dodo.
J’entre, l’atmosphère tamisée porte à la consommation des spiritueux.
Je m’installe au bar sans regarder la jeune femme qui est à côté car l’alcool oui les filles à aucun moment dans ma démarche je n’y pense.
Après le deuxième vers d’un bon Bourgogne vin que je préfère un homme qui vient d’entrer me bouscule faisant valser le contenu sur la robe de ma voisine.

• Excusez.
• C’est malin, j’empeste la vinasse, ma soirée est fichue.
Patron du sel, monsieur vous auriez pu faire attention.
• Madame monsieur est innocente, c’est moi qui l’ai bousculé.
• Ma soirée est fichue tout de même.
Est-ce du Bourgogne ?

Il semble que de se faire arroser du vin de cette région est moins grave que si c’était du vin d’un autre endroit.

• Si vous n’y êtes pour rien je vous pardonne offrez-moi un verre de votre bouteille.

Nous trinquons et je veux remettre une bouteille la première étant terminée.

• Non sans moi, il faut que je me nettoie.
• Voulez-vous que je vous accompagne jusque chez vous ?
• Je voudrais bien mais j’habite au bout de la ville.
• Bien sûr un hôtel serait déplacé je n’ai aucune solution.
• Chez vous c’est possible, je prendrais une douche et si vous avez une voiture vous me reconduirez.

Qu’avais-je en tête quand je dis oui alors que mon garage est à moins de 200 mètres et qu’elle aurait pu prendre sa douche chez elle ?
Nous montons et l’ascenseur nous dépose devant la porte de notre appartement où je la fais entrer.
Je la guide vers la salle de bain où je lui donne une serviette pour se sécher.
Je l’attends dans le salon où j’ai apporté deux verres avec une bouteille pleine du même vin qui macule sa robe.
Je regarde mon répondeur outré de voir que Jennifer a persisté à oublier d’appeler.
J’attends une demi-heure quand elle vient la serviette entourant ses seins me montrant ses jambes aussi belles que celle de Jennifer.

À la main elle a un sac à main comme de nombreuses femmes qu’elle dépose à côté de la télévision sur le meuble bas.

• J’ai lavé ma robe, elle va sécher rapidement.

Ces mots auraient dû me mettre la puce à l’oreille car même bien essorer une robe met un certain temps à sécher.

• Un verre ?
• Volontiers.

Elle s’assoit et je peux voir la serviette s’ouvrir me montrant le creux de ses jambes à la limite de sa fourche.

• À la tienne, c’est incident nous aura permis de nous connaître.
Jennifer.

J’ai un regard incrédule quand elle donne ce prénom.

• Je suis presque nue devant toi et mon nom est Jennifer et toi.

Jennifer, se fiche-t-elle de moi ?

• Tu t’appelles Jennifer, comme ma femme moi c’est Sébastian.
• Quelle coïncidence.

Nous trinquons et dans ce mouvement la serviette se défait me montrant ses magnifiques seins.

• Cela te dérange si je reste la poitrine à l’air je suis un peu exhibitionniste chez moi je suis toujours nue.

Le vin ôte mes défenses et c’est naturellement que nous parlons de Jennifer sans que je me rende compte que je dévoile bien des choses sur les pratiques sexuelles que nous avons avec ma femme.
Je lui parle de mon isolement pour un mois car Jennifer est allée en vacances avec ma fille et le fait que mes coups de téléphone ont été vain.

• Viens voir Maman, mon pauvre chéri.

Me disant ces mots elle me prend dans ses bras et je me retrouve plaqué sur sa poitrine.
C’est sans savoir ce que je fais que ma bouche entre en contact avec son aréole et que je la tète comme ma fille tétait Jennifer.
Sa main vient se poser sur mon sexe.
Je trique comme un malade et quand elle écarte les cuisses pour que je puisse descendre ma bouche sur sa chatte épilée j’aurais pu avoir un dernier moment de révolte ou de lucidité mais c’est son clito que ma langue finit par honoré qui scelle mon destin.

Je me relève du canapé pour dégager ma verge et je lui mets entièrement dans sa bouche.
Elle me pompe goulûment et je me m’entends lui débiter les mots crus que j’aimerais dire à Jennifer 1.

• Suce salope, avale ma verge, je vais te défoncer ma salope puisqu’il semble que tu m’aies suivi pour cela.

Sa bouche m’évite une réponse mais à ce moment je sais que je vis des moments inoubliables qui resteront gravés à jamais dans mon cerveau me permettant de continuer notre vie paisible avec ma femme.
Réaliser son fantasme doit rester un moment unique et je sais au moment où elle s’allonge et que je plonge en elle que cette soirée sera la seule où je me serais permis de donner un petit coup de canif dans le contrat moral qui me lit à Jennifer et Ange.
Pendant trois heures notre canapé celui où nous passons des soirées tendrement enlacées à regarder la télévision est le lieu ou mon sexe est entièrement à la fête dans son vagin et allant même jusqu’à son anus qu’elle m’offre écartant ses fesses pour que j’y entre plus facilement et plus profondément.
C’est après trois éjaculations à l’intérieur de sa bouche, sa chatte et son anus ou peut être chatte anus et bouche que je m’écroule repu de sexe et de luxure et que je m’endors.

• Allo chéri, excuse-moi d’appeler à cette heure matinale, il y a eu un orage terrible hier au soir au-dessus de Royan, l’un des arbres devant la maison de papa est tombé sans heureusement faire des dégâts sauf la ligne téléphonique qui est coupée et les portables sans réseau.
Bon anniversaire mon cœur.

C’est avec la gueule de bois que la sonnerie du téléphone m’a réveillé.
Jennifer est partie emmenant son sac et sa robe tachée de vin.

• Merci mon amour, hier j’étais inquiet et tu as bien fait d’appeler malgré l’heure matinale.
Je vais aller me coucher, j’ai passé la soirée sur le canapé à attendre ton appel.
Bon anniversaire à toi aussi mon cœur, tu m’as énormément manqué…

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